Sémou Mama Diop

Voilà maintenant plus de treize ans que j’ai quitté le Maroc, Agadir et l’ISIAM, mais les souvenirs de mes deux années d’études demeurent vivaces et loquaces dans mon esprit. Tant il est vrai qu’on ne se rend compte de son bonheur que lorsqu’il devient évanescent.

Je me rappelle comment nous fûmes accueillis à l’aéroport d’Agadir, logés à quelques encablures de l’école, orientés et guidés pour les formalités administratives et autres. Dakhla, c’était pour nous un village d’étudiants d’origines diverses qui surent se mêler, se comprendre et s’aimer. Une expérience des plus enrichissantes.

Que dire de l’école elle-même et de son corps professoral ? Tout simplement : « Merci ».